Réalisé pour

Accueil » Que faire quand un sinistre frappe ma pharmacie ?

Que faire quand un sinistre frappe ma pharmacie ?

Vol, incendie, panne informatique, dégât des eaux… Imprévisibles, ils endommagent les stocks, les meubles, l’agencement et peuvent même entraîner la fermeture de l’officine. Comment obtenir réparation, se faire aider pour reprendre son activité au plus vite ?

En premier lieu votre assureur : « Il va alors vous poser de multiples questions », explique l’expert sinistre La Médicale. La première est de savoir si vous êtes propriétaire de vos murs. « Si le pharmacien est locataire, son assurance prendra à son compte tout le mobilier lié à l’activité professionnelle », précise le spécialiste. Ce mobilier comprend tout ce que le pharmacien a installé lui-même, que ce soit un robot, des portes automatiques ou bien des linéaires.

Pour le reste, il faut en règle générale se retourner vers l’assurance du bailleur. « Un expert va venir voir ce qui figure dans le bail et ce qui a été endommagé. Nous faisons le nécessaire pour déterminer qui va prendre en charge les dommages immobiliers en fonction des pièces présentes au dossier (devis par exemple)», rassure l’expert.

Oui, la croix de pharmacie est considérée comme du mobilier professionnel, intimement lié à l’activité de la pharmacie d’officine. Elle est donc couverte en tant que tel si elle a moins de 10 ans.

Oui ! Tout ce qui est fortuit et non prévisible est pris en charge*. En revanche, si vous êtes prévenu à l’avance d’une éventuelle coupure d’électricité, il faut que vous fassiez le nécessaire.

Cela dépend de la situation. Dans le cas d’un vol à l’étalage, la plupart des assurances ne couvrent pas le pharmacien. « Nous n’intervenons que dans le cadre de vol de produits suite à une effraction, ou à des violences de type braquage », précise le spécialiste de La Medicale.

Les cambriolages sont aussi couverts. « C’est malheureux, nous déplorons souvent des milliers d’euros de dommages pour un fonds de caisse de 300 euros », rapporte l’expert sinistre.

Oui ! « Nous prenons en charge les pertes d’exploitation dès la deuxième journée de fermeture de l’officine. Nous nous voulons réactifs, et nos experts vont rapidement étudier les comptes pour pouvoir évaluer le sinistre », explique le spécialiste. Si les dommages causés empêchent une réouverture rapide de l’officine, la prise en charge d’un préfabriqué sera proposée le temps des travaux afin de permettre la poursuite de l’activité. « Nous indemnisons, bien sûr ! Mais le but est aussi que notre client puisse maintenir son activité, ses salariés et surtout maintenir le service à ses patients. »

Du gestionnaire sinistre à l’expert, tout le monde œuvre pour que l’activité soit reprise le plus vite possible, et apporter de la tranquillité au pharmacien. « C’est la prise en charge du dossier qui fait la différence, c’est l’accompagnement et le suivi. Il faut poser les bonnes questions et donner des informations claires et concises. »

Contacter un expert en assurance

Pour en savoir plus sur la responsabilité civile professionnelle & protection juridique 

Interview de Élodie TEJON, agent général de Tours.

Référence :

Publi-rédactionnel réalisé par l’Agence Profession Santé pour La Médicale

Réalisé par l'Agence Profession Santé